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NOTRE FONDATEUR

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Yannick Ferret

Consultant Senior en Management & Growth Marketing

Auteur de La boîte à outils marketing des clubs de tennis

Ex Entraîneur de tennis (DESJEPS) & Formateur au Diplôme d'Etat

Ancien Product Marketing Manager chez Mouratoglou Digital Coaching

Quand as-tu débuté le tennis ?

Comme Obélix, je suis tombé dans la marmite ! Le tennis avait déjà fortement imprégné l’histoire familiale : de par ma sœur, de 10 ans mon ainée, joueuse puis enseignante ; de part mon grand-père, l’un des précurseurs - dans les années 60 - de la préparation physique orientée tennis.

L'enseignement, c'était une vocation...

Oui, complètement ! J’ai grandi jusqu’à 11 ans au Nice Lawn Tennis Club, le club historique, mythique, de la Côte d’Azur, celui de Suzanne Lenglen et de Yannick Noah… d’où mon prénom d'ailleurs !

À 8 ans, je portais la tenue de Stefan Edberg, je faisais service volée ! Mais à l'époque, du haut de mes 1.10m, en balle dure, sur grand terrain, je n’étais pas très efficace... J’ai rapidement compris que je ne gagnerai pas Roland Garros ! J’étais en revanche fasciné par les profs, je voulais leur ressembler, transmettre moi aussi ma passion.

Quand es-tu devenu enseignant ?

À 11 ans, j'ai déménagé en Corse. Je donnais un coup de main à l’école de tennis, aux côtés de ma coach de l’époque, Nathalie Leschi. Je posais beaucoup de questions, j’étais une véritable éponge. Arrivé à la maison, je notais tous les exercices… C'est à ce moment là que la vocation est véritablement née « je deviendrai prof de tennis à mon tour ».

À 18 ans, retour sur Nice. Le tennis m’a d’abord permis de financer des études en Economie. Comme beaucoup, j’étais initiateur en club (les samedis, mercredis, les soirs) et animateur tennis en accueil de loisirs (pendant les petites et grandes vacances). Mais ce qui devait arriver arriva… mon job étudiant est finalement devenu mon job à plein temps. J'ai passé mon DEJEPS puis quelques années plus tard mon DES.

Tu es rapidement sorti du terrain...

J'ai toujours eu la fibre du développement. C'est sans doute lié à mes études. Deux questions ont balisé mon parcours professionnel en club. Comment mieux fidéliser, dès le mini-tennis ? Comment attirer de nouveaux publics ?

Sur ce chemin, j’ai eu la chance de croiser la route de nombreux mentors. Des dirigeants et enseignants qui avaient compris bien avant les autres : 

  • que le tennis avait besoin de se régénérer ; 

  • que le marketing n’était pas un gros mot ; 

  • que la qualité de service devait devenir la règle (accueil, réservation, recherche de partenaires…) ; 

  • que la compétence d’un enseignant s’appréciait aussi en fonction de sa capacité à fidéliser ses élèves ; 

  • qu’il fallait adapter l’offre de pratique et les tarifs aux spécificités des publics ; 

  • que la multi-activités deviendrait sans doute l’avenir des clubs ; 

  • que la fidélisation ne suffisait pas ; qu’il fallait transformer les fidèles en ambassadeurs ; 

  • qu'il fallait prolonger l'expérience du tennis en dehors du club, sur mobile.

Comment est né Esprit club ?

L’application méthodique des grands principes que j'évoquais juste avant ont permis de multiplier respectivement par 2 et par 3 le nombre de licenciés des clubs par lesquels je suis passé (de 700 à 1400 licenciés en 4 ans ; de 200 à 600 licenciés en 3 ans). Sur ces mêmes périodes, la Fédération perdait quant à elle de nombreux licenciés.

Ce parcours et ces résultats m’ont finalement conduit en 2017 vers l’entrepreneuriat et le marketing. Cette double expérience du développement (associatif d’une part, orientée startup et digital d’autre part) m’a naturellement mené à la création d'Esprit Club.

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